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Fictions africaines du contemporain, plasticité d'une histoire connectée

Demain Fictions africaines du contemporain, plasticité d'une histoire connectée

Yolaine Parisot explore comment les littératures postcoloniales, mêlant arts visuels et phénoménologie, incarnent l’hybridité culturelle et répondent à l’exigence d’une histoire connectée dans des fictions africaines et caribéennes contemporaines.

Mardi 4 Février de 1èh à 19h
Sorbonne, amphithéâtre Guizot.
Inscription obligatoire par courriel. (danielle.perrot.corpet@gmail.com)

Le séminaire « Identités plastiques » touche aux questions d’hybridité, de bizarrerie par rapport à une norme (queerness), de frontières flottantes ou poreuses, telles qu’elles se font jour en littérature et dans les arts. Mettant en jeu différents champs de recherche, comme les études de genre ou l’écopoétique, il interroge, au fil des interventions, les catégories identitaires destinées à classer le monde, les êtres, les langues et les disciplines académiques qui les appréhendent.

Durant cette conférence, Yolaine Parisot revient sur l’importance historique des relations étroites que les littératures dites postcoloniales, confrontées à l’impératif d’un être-au-monde à reconstruire, ont tissées avec les arts visuels et la phénoménologie. Ce même impératif explique que, dans ce champ, la fiction littéraire incorpore l’hybridité culturelle, situe les savoirs, « habite la frontière ». Yolaine Parisot s’intéresse tout particulièrement à quelques fictions africaines et caribéennes ultra-contemporaines qui jouent de cette plasticité poétique pour répondre à une nouvelle exigence, celle d’une histoire connectée.

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